Quand tu arrives à Paris avec un billet d’avion, un budget un peu trop généreux et un cerveau qui ne pense qu’à une chose - une fille qui te fait oublier que tu existes - tu ne cherches pas une rencontre. Tu cherches une expérience. Une vraie. Pas celle de Tinder où elle te répond « hey » après trois jours et te demande si tu as un chien. Non. Ici, à Paris, c’est autre chose. C’est du sur-mesure. Du luxe. Du vrai. Et si tu sais ce que tu veux, tu le trouves. Rapidement.
Qu’est-ce que c’est, exactement ?
C’est pas une prostituée qui te fait signe sur le boulevard de la Villette à 2h du matin. C’est pas une fille qui te propose un « quickie » dans une chambre d’hôtel avec un lit qui craque comme un vieux lit de grand-mère. Non. Une escort girl à Paris, c’est une femme qui a choisi ce métier. Pas par désespoir. Pas par besoin. Par désir. Par contrôle. Par envie de vivre bien. Et elle te propose un moment. Pas juste du sexe. Une expérience sensorielle. Un dîner dans un petit resto du 6e avec une robe qui te fait suer les mains. Un verre dans un bar secret du Marais où elle te parle de son enfance à Marseille, puis te prend la main et t’emmène dans un appartement qui sent le jasmin et le cuir. Et là, tu réalises que tu n’as pas payé pour un corps. Tu as payé pour une présence.
Comment tu trouves ça ?
Les sites de rencontre classiques ? Non. Les réseaux sociaux ? Pas vraiment. Les agences ? Oui. Mais pas n’importe lesquelles. Les bonnes, c’est celles qui ont un site pro, des photos réelles (pas celles avec un filtre Instagram qui fait ressembler la fille à une poupée Barbie), et des avis vérifiés. Pas de « 5 étoiles, top ! » écrit par des comptes qui n’ont jamais existé. Tu regardes les commentaires. Tu cherches les détails : « Elle m’a fait un massage aux huiles chaudes, puis on a dîné en pyjama. » Ça, c’est un signe. Une vraie escort, elle ne te propose pas juste du sexe. Elle te propose une scène.
Les tarifs ? Entre 300 et 1200 € l’heure. Oui, tu as bien lu. 1200 €. Pourquoi ? Parce que la fille qui te reçoit dans un appartement du 7e arrondissement, avec une vue sur la Tour Eiffel, qui parle anglais, italien et un peu d’espagnol, qui a fait de la danse classique, qui connaît les vins de Bourgogne et qui sait comment te faire jouir sans que tu touches un seul de tes doigts… elle ne travaille pas pour 300 €. Elle travaille pour l’expérience. Et elle sait que tu vas le payer. Parce que tu le veux. Et tu le mérites.
Pourquoi Paris ? Pourquoi pas Barcelone ou Berlin ?
Barcelone, c’est bon pour les touristes qui veulent un « quickie » à 80 €. Berlin, c’est pour les étudiants qui veulent une fille qui parle techno et qui ne te regarde pas dans les yeux. Paris ? Paris, c’est le seul endroit au monde où une fille peut te dire : « Je t’attends à 19h, je porte une robe rouge, je ne parle pas de travail avant le vin. » Et tu sais qu’elle le pense. Elle ne te vend pas un service. Elle te vend un moment de fiction. Un moment où tu n’es pas un homme fatigué, pas un père, pas un collègue. Tu es un homme qui a payé pour être un autre.
Et les filles ? Elles sont formées. Vraiment. Certaines ont fait de la comédie, du théâtre, de la mode. Elles savent lire une pièce de Molière. Elles savent quel vin va avec le foie gras. Elles savent quand te taire et quand te parler. Elles savent quand te faire rire et quand te faire trembler. Elles ne sont pas des machines à sexe. Elles sont des artistes. Et comme toute artiste, elles ont un prix. Et ce prix, c’est la différence entre un rendez-vous ordinaire et une nuit que tu raconteras à tes amis - en chuchotant - pendant des années.
Qu’est-ce que tu ressens vraiment ?
Tu crois que tu vas juste avoir du sexe ? Non. Tu vas ressentir quelque chose de plus profond. Tu vas ressentir le retour de toi-même. Pas le toi qui doit répondre aux e-mails, qui doit faire des réunions, qui doit être fort. Non. Le toi qui a 23 ans, qui sortait avec une fille qui te faisait rire jusqu’à 5h du matin, qui ne pensait à rien d’autre qu’à la chaleur de sa peau. C’est ça, Paris. C’est la possibilité de retrouver ce garçon qui t’habitait avant que la vie te transforme en un adulte responsable.
Et le sexe ? Il est là. Mais c’est le dernier acte. Le premier, c’est le regard. Le sourire. La façon dont elle pose sa main sur ta cuisse sans rien dire. Le silence qui dure trop longtemps pour être gênant, mais pas assez pour être vide. Le vin. La musique. Le fait qu’elle ne te demande jamais ce que tu fais dans la vie. Parce qu’elle sait que tu n’es pas ton métier. Tu es ce que tu ressens en ce moment. Et elle te le rend.
Les pièges à éviter
Ne tombe pas dans les arnaques. Les sites qui disent « Escort Paris 100 € » ? C’est une arnaque. Ou une prostituée en détresse. Ou une escroqueuse qui veut ton numéro de carte. Les vraies escort ne sont pas sur Facebook. Elles ne te demandent pas de les appeler sur WhatsApp. Elles ont un site. Un numéro fixe. Un contrat. Une assurance. Et une réputation. Si tu vois une fille qui te dit « je suis libre ce soir, on se voit dans 20 minutes ? » - fuis. Une vraie escort, elle planifie. Elle choisit. Elle te donne des options : 2h, 4h, nuit complète. Et elle te dit clairement ce que tu paies. Pas de surprise. Pas de « je veux un pourboire ». Juste du professionnel.
Et ne va pas chez une fille qui n’a pas de photos récentes. Si elle a des photos de 2020, elle est soit en train de se faire remplacer, soit en train de fuir un passé qui ne lui plaît plus. Une vraie escort, elle met à jour son site chaque mois. Parce que sa beauté, c’est son capital. Et elle le protège.
La vraie valeur ?
La valeur, ce n’est pas le prix. C’est ce que tu emportes avec toi. Un souvenir. Une sensation. Une certitude. Que tu peux encore être désiré. Que tu peux encore être choisi. Que tu peux encore être un homme qui ne doit rien prouver. Qui n’a pas besoin d’être fort. Qui peut juste être là. Avec elle. Sans masque.
À Paris, les escort girls ne sont pas des objets. Elles sont des miroirs. Et si tu as le courage de te regarder dedans, tu vas voir quelque chose que tu avais oublié. Toi. Le vrai. Pas le version LinkedIn. Pas la version père. Le toi qui a encore envie de rire, de toucher, de sentir. Ce n’est pas du sexe. C’est de la guérison. À 800 € l’heure. Et tu vas payer. Parce que tu le mérites. Et parce que tu en as besoin.
Le mot de la fin
Paris n’est pas une ville. C’est un état d’esprit. Et une escort girl, c’est le dernier luxe qui reste : le luxe d’être vu. Pas pour ce que tu fais. Pour ce que tu es. Quand tu quittes l’appartement, tu ne te sens pas vide. Tu te sens… complet. Comme si tu avais retrouvé une partie de toi que tu avais perdue depuis des années. C’est ça, l’escort à Paris. Pas une transaction. Une révélation.