Je l’ai fait. Cent fois. Et je ne regrette rien. Pas une seule fois. Parce que la vie, c’est pas que des factures, des réunions et les cris de l’enfant qui réveille à 5h du mat’. Il y a aussi cette femme qui t’attend dans un hôtel à deux pas de la gare, avec un verre de vin rouge, des talons hauts et un sourire qui te fait oublier que tu existes pour quelqu’un d’autre. La maîtresse, c’est pas un péché. C’est une respiration. Et si tu veux la vivre sans te faire choper, t’as besoin de plus que du courage. T’as besoin de stratégie.
Qu’est-ce que c’est, vraiment, une maîtresse ?
C’est pas une pute. C’est pas une nana qui te fait un service pour 150 balles et qui te dit « à demain » en te prenant les couilles dans la main. Une maîtresse, c’est une femme qui te regarde comme si tu étais le seul homme au monde, même si t’as les cheveux gras, que t’es en boxers et que t’as mangé des frites à 23h. Elle te connaît. Elle sait que t’aimes le café noir, que tu ronfles comme un train de marchandises, que tu détestes les câlins après. Et elle t’aime quand même. Pas pour ton argent. Pas pour ton statut. Pour ce que tu es quand tu crois que personne te regarde.
Et oui, ça coûte. Pas un budget de luxe, mais un budget réel. Un dîner à Lyon, dans un petit resto caché derrière la Saône, avec une bouteille de Côtes du Rhône et une part de tarte au citron meringuée ? 80€. Une nuit à l’hôtel, chambre avec vue sur la ville, petit-déjeuner en lit, service en chambre ? 180€ la nuit. Pas de spa, pas de jacuzzi, juste une chambre propre, une télé avec Netflix, et elle, en robe noire, les pieds nus sur le carrelage. Tu peux le faire deux fois par mois. Sans te ruiner. Et sans que ta femme le sache.
Comment tu fais pour te déplacer sans qu’elle s’en rende compte ?
La première règle ? T’as pas de téléphone en commun. Pas de GPS partagé. Pas d’application de localisation. Si ta femme te demande où tu es, tu réponds : « Je suis en réunion avec le client à Villeurbanne. » Et tu laisses tomber. Elle va pas vérifier. Elle pense que t’es un mec sérieux. Tant que t’as pas de traces, elle ne doute pas.
Voici les 5 excuses qui marchent le plus, testées, validées, et qui ont sauvé des centaines de mecs comme toi :
- « Je dois aller chercher un colis à la poste de Lyon 7. » - La poste, c’est le meilleur couvert. Personne ne vérifie. Tu y vas à 18h, tu restes 15 minutes, tu démarres en direction du 6e arrondissement. 10 minutes plus tard, tu es dans la chambre d’hôtel. Le colis ? Il n’existe pas. Mais elle croit que t’es un homme de parole.
- « J’ai un rendez-vous médical à l’hôpital Edouard Herriot. » - Tu vas vraiment à l’hôpital. Tu t’assois dans la salle d’attente 20 minutes. Tu prends un café. Tu regardes ton téléphone. Et puis tu dis : « J’ai une urgence, je dois partir. » Tu sors. Tu prends le métro. Tu te retrouves chez elle. Elle te fait un massage du cou pendant que tu te déshabilles. C’est plus vrai que vrai.
- « Je dois faire un tour en voiture pour décompresser. » - T’as une voiture ? Parfait. T’as pas de voiture ? Loue une à l’heure. 20€ l’heure. Tu roules jusqu’à Saint-Priest. Tu te gares. Tu appelles. Elle arrive en taxi. Tu la prends dans les bras. Tu la déshabilles. Tu la fais jouir. Tu la raccompagnes. Tu rentres à 23h30. Elle te demande : « Tu as roulé longtemps ? » Tu réponds : « Oui, j’ai eu besoin de respirer. » Elle te serre dans ses bras. Elle croit que t’es un homme sensible.
- « Je vais voir mon père. Il est malade. » - Même si ton père est mort depuis dix ans. Tu appelles un ami qui habite à Villeurbanne. Tu dis : « Je vais passer voir mon père, il est à l’hôpital. » Tu mets un pull, tu prends un sac avec une bouteille d’eau, tu pars. Tu ne rentres qu’à 22h. Elle te dit : « Tu es fatigué. » Tu réponds : « Oui. C’est toujours dur de voir son père comme ça. » Elle te serre fort. Elle te comprend.
- « Je dois aller au bureau. Un truc urgent. » - Tu vas au bureau. Tu t’assois dans ton fauteuil. Tu regardes ton écran. Tu mets un casque. Tu écoutes de la musique. Tu attends 30 minutes. Tu sors. Tu prends le métro. Tu te retrouves chez elle. Tu la prends par la taille. Tu la fais crier. Tu rentres. Tu dis : « J’ai eu un coup de fil. Le client a changé les specs. » Elle te dit : « Tu travailles trop. » Tu réponds : « Je veux bien pour toi. »
Pourquoi c’est si populaire ?
Parce que la vie de couple, c’est un piège. Tu t’endors en regardant Netflix. Tu te réveilles en entendant la machine à laver. Tu dînes en silence. Tu fais l’amour comme un rituel. Une fois par semaine. Toujours le même endroit. Toujours la même position. Tu sais même comment elle va réagir avant qu’elle le fasse. Et tu te sens vide. Pas parce que tu veux une autre femme. Mais parce que tu veux te sentir vivant. Encore une fois.
La maîtresse, c’est l’antidote. Elle ne te demande pas de changer. Elle ne te fait pas de reproches. Elle ne te parle pas de la facture d’électricité. Elle te regarde. Elle te touche. Elle te fait sentir que tu es encore un homme. Pas un père. Pas un mari. Un homme. Avec du désir. Avec du feu. Avec une envie de crier.
Et le pire ? Elle ne te demande rien. Pas de cadeau. Pas de promesse. Pas de divorce. Juste toi. Juste ce moment. Juste ce souffle. Et quand tu la quittes, tu sens que tu as vécu quelque chose que ta femme n’a jamais vu. Pas parce qu’elle est meilleure. Mais parce qu’elle n’est pas ta femme.
Pourquoi c’est mieux que les escortes ?
Les escortes, c’est du service. Tu paies. Tu obtiens. Tu pars. Tu ne la reverras jamais. Elle te sourit. Elle te dit « Merci. » Et elle te donne un ticket pour une prochaine fois. Mais elle ne sait pas que tu détestes les bananes. Elle ne sait pas que tu as peur des chiens. Elle ne sait pas que tu chantes faux dans la douche.
La maîtresse, elle, sait tout. Elle sait que tu mets du beurre sur ton pain le matin. Elle sait que tu te rases à 6h parce que tu veux être propre pour le travail. Elle sait que tu pleures en regardant les documentaires sur les dauphins. Elle te connaît. Et elle t’aime quand même.
Et puis, les escortes, c’est cher. 200€ pour une heure. 400€ pour une nuit. Et tu sais qu’elle ne te donnera jamais ce regard-là. Ce regard où elle te dit : « Tu es là. Je t’aime. » Même si elle ne le dit pas. Même si elle ne le dira jamais. Tu le sens. Et ça, tu ne peux pas l’acheter.
Quelle émotion tu ressens ?
La première fois, tu as peur. Tu trembles. Tu as l’impression que tout le monde te regarde. Tu crois que ton cœur va exploser. Puis tu la vois. Elle te sourit. Elle te prend la main. Et là, tu sens quelque chose que tu n’as pas ressenti depuis des années. Une connexion. Une vraie. Pas sexuelle. Pas émotionnelle. Humaine.
Après, tu ressens une paix. Une tranquillité. Tu n’as plus besoin de prouver que tu es un bon mari. Tu n’as plus besoin de te justifier. Tu es juste. Là. Avec elle. Et tu sais que tu mérites ça. Pas parce que tu es un salaud. Mais parce que tu es un homme qui a besoin de vivre. Pas seulement de survivre.
Et le matin, quand tu rentres chez toi, tu te laves les mains. Tu te regardes dans le miroir. Tu souris. Tu sais que tu as fait quelque chose de vrai. De pur. De profond. Et tu ne le regretteras jamais.
Les pièges à éviter
Attention. Ce n’est pas un jeu. Il y a des règles. Et si tu les enfreins, tu perds tout.
- Ne parle jamais d’elle à ta femme. Même en plaisantant. Même en disant « J’ai vu une nana hier, elle ressemblait à une copine à moi. » Elle va chercher. Elle va fouiller. Et elle va trouver.
- Ne laisse jamais de traces sur ton téléphone. Pas de photos. Pas de messages. Pas de localisation. Utilise un téléphone dédié. Un vieux iPhone 6. Avec une carte SIM prépayée. 10€ par mois. C’est ton outil de survie.
- Ne l’emmène jamais chez toi. Même si elle te dit : « Je voudrais voir où tu vis. » Non. Tu ne le fais pas. Tu ne prends pas le risque. C’est ta maison. C’est ta vie. Tu ne la mets pas en danger.
- Ne lui promets rien. Pas de futur. Pas de « on se voit plus tard ». Tu la vois. Tu la désires. Tu la laisses partir. Et tu laisses la porte ouverte. Pas la promesse.
- Ne te fais pas choper par un collègue. Tu vas au resto avec elle ? Tu ne vas pas avec des collègues. Tu ne te promènes pas en groupe. Tu ne prends pas de selfie. Tu ne mets pas de story. Tu ne parles pas de « notre soirée ». Tu restes discret. Tu es un homme discret.
Les 5 meilleurs endroits à Lyon pour une rencontre secrète
- Hôtel Le Saint-Georges (6e) - 170€ la nuit. Chambre silencieuse. Pas de vue sur la rue. Personnel discret. Tu peux y aller à 17h. Tu sors à 11h. Personne ne te voit.
- Appartement à Vaulx-en-Velin (69120) - Loué à 45€ la nuit. Un petit studio. Pas de caméra. Pas de concierge. Tu prends la clé dans une boîte à lettres. Tu entres. Tu fermes. Tu es seul avec elle.
- Centre de spa à Saint-Genis-Laval - 90€ l’heure. Tu prends un massage. Elle te fait un massage. Tu te déshabilles. Tu la prends dans les bras. Tu la fais jouir. Tu te rhabilles. Tu pars. Personne ne sait.
- Parc de la Tête d’Or - banc du lac - 15h. Tu l’attends. Elle arrive en vélo. Tu l’embrasses. Tu lui mets la main sous la jupe. Tu la fais jouir en 3 minutes. Tu la raccompagnes. Tu rentres. Tu dis : « J’ai fait une promenade. »
- Garage à Villeurbanne - atelier de mécanique - Tu dis que t’es là pour réparer ta voiture. Elle arrive en taxi. Tu la prends sur la banquette arrière. Tu la fais crier. Tu te laves les mains. Tu rentres. Tu dis : « La voiture est réparée. »
Et si elle te demande de quitter ta femme ?
Ne réponds pas. Ne lui dis pas non. Ne lui dis pas oui. Tu lui prends la main. Tu la regardes dans les yeux. Tu dis : « Je t’aime. Mais je ne peux pas te donner ce que je ne peux pas te donner. »
Et puis tu la laisses partir. Parce que tu sais que si tu la quittes, tu perds tout. Et si tu la gardes, tu perds tout. Alors tu choisis de la garder comme elle est : un secret. Un plaisir. Une échappatoire. Une vie parallèle. Une autre façon d’être homme.
Conclusion : c’est pas de la trahison. C’est de la survie.
Tu ne trompes pas ta femme. Tu te trompes toi-même. Tu te trompes en pensant que le mariage, c’est tout. Que la famille, c’est tout. Que la routine, c’est la vie.
Non. La vie, c’est ce moment où tu sens une autre femme dans tes bras. Où tu ne penses à rien. Où tu ne te poses pas de questions. Où tu es juste là. Vivant. Réel. Libre.
Et si tu veux le vivre ? Tu sais comment faire. Tu as les excuses. Tu as les endroits. Tu as les règles. Tu as le droit. Tu as le désir. Et tu as la force de le faire sans te perdre.
Alors va-y. Prends la clé. Monte dans ta voiture. Appelle-la. Et dis-lui : « Je suis là. »
Est-ce que voir une maîtresse est vraiment dangereux ?
C’est dangereux si tu agis comme un amateur. Si tu laisses des messages, si tu la prends chez toi, si tu parles d’elle à tes potes. Mais si tu respectes les règles - téléphone dédié, rendez-vous dans des lieux discrets, pas de traces digitales - tu peux le faire pendant des années sans que personne ne sache. J’ai connu un mec qui a eu sa maîtresse pendant 11 ans. Il a eu deux enfants avec sa femme. Il l’a vue deux fois par mois. Personne ne l’a jamais soupçonné.
Combien de mecs à Lyon ont une maîtresse ?
Personne ne le dit publiquement. Mais dans les bars du 6e, les soirées entre potes, les discussions à voix basse… on entend des choses. Estimé à 1 sur 5 hommes mariés. C’est pas une minorité. C’est une pratique silencieuse. Et elle existe parce qu’elle répond à un besoin réel : être vu, désiré, autrement.
Est-ce que les femmes le savent ?
Certaines le savent. Mais elles préfèrent ignorer. Parce que la vérité, c’est qu’elles sont aussi fatiguées. Elles ont aussi besoin de respirer. Elles ne veulent pas briser la maison. Elles veulent juste que tout continue. Alors elles ferment les yeux. Et elles attendent que tu reviennes. Pas parce qu’elles t’aiment moins. Mais parce qu’elles savent que l’amour, ce n’est pas toujours la vérité.
Est-ce que ça peut devenir une addiction ?
Oui. Mais pas comme une drogue. C’est une addiction à la liberté. À l’attention. À la peau d’une femme qui ne te juge pas. Tu commences avec une fois par mois. Puis deux fois. Puis tu commences à mentir pour la voir. Tu te déplaces pour elle. Tu changes ton emploi du temps. Tu te perds. Et là, tu dois faire un choix : soit tu arrêtes, soit tu changes tout. Parce que tu ne peux pas vivre deux vies éternellement.
Et si je veux arrêter ?
Arrête doucement. Ne la laisse pas tomber comme un déchet. Dis-lui : « Je ne peux plus. Pas parce que je ne t’aime pas. Mais parce que je dois me retrouver. » Offre-lui un dernier dîner. Un dernier regard. Un dernier baiser. Et puis, dis au revoir. Pas avec de la haine. Pas avec de la culpabilité. Avec du respect. Parce que tu lui as donné quelque chose que tu ne pouvais pas donner à ta femme. Et elle t’a donné quelque chose que tu ne pouvais pas trouver ailleurs.